Syndrome de l’imposteur : en finir avec cette croyance !
Le syndrome de l’imposteur est un phénomène de plus en plus présent dans notre société. Comment se débarrasser de cette croyance si sournoise ?
Qu’est-ce que le syndrome de l’imposteur ?
Le syndrome de l’imposteur est un sentiment persistant d’auto-dépréciation. Il se caractérise notamment par la crainte d’être démasqué, reconnu comme un imposteur, d’où son nom.
Concrètement, les personnes concernées pensent qu’elles ne doivent leurs réussites et leur position qu’à un enchainement de “coups de pouce”. Elles ne seraient donc pas légitimes à être là où elles en sont. Pire ! Certains pensent carrément qu’ils ont volé la place de quelqu’un d’autre.
Ce phénomène se retrouve dans la sphère professionnelle, mais aussi dans la sphère privée et notamment dans le sport.
Les conséquences du syndrome de l’imposteur
Le syndrome de l’imposteur entraine des conséquences bien concrètes. Il a souvent tendance à amener un manque de confiance en soi plus ou moins marqué. Ce dernier nuit forcément à la productivité et aux performances de l’individu concerné.
Il peut aussi générer des pics de stress, de l’anxiété et amener à des contre-performances. C’est notamment le cas dans le sport. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, ce phénomène touche aussi bien les débutants en course à pied que les coureurs élites.
Comment se débarrasser du syndrome de l’imposteur ?
Le syndrome de l’imposteur trouve souvent sa place au sein des croyances limitantes.
C’est donc à elles qu’il faut vraisemblablement s’attaquer pour espérer en venir à bout. Ce n’est pas un travail simple ! Il s’agit d’un cheminement de longue haleine, mais le résultat en vaut la chandelle.
Dans cet épisode, nous allons explorer cinq signes parfois cachés, mais révélateurs, d’un déficit en nutriments essentiels.
Les carences nutritionnelles sont souvent sous-estimées dans le monde du sport, et pourtant, elles peuvent avoir des conséquences bien réelles sur la santé et les performances des coureurs à pied. Fatigue persistante, blessures récurrentes, récupération plus lente, ou même troubles de l’humeur… Les carences peuvent se manifester de manière subtile, presque insoupçonnée, et même pire passer inaperçues pendant longtemps.